lundi 15 mars 2010

La Terre Promise


Jean Paré fini son article La terre promise des Québécois qui parait dans l’actualité, le 5 février 2010, par dire que notre tâche est de choisir un gouvernement qui va GÉRER les exploiteurs du même ACABIT qu’ informer les citoyens de notre héritage.

Je n’ai pas d’ACERBES pour Paré, mais suis en concordance. C’est notre devoir d’être informé sur ce qui arrive dans notre environnement incluant notre héritage et de le protéger. Cependant, je pense que pour savoir intimement ce que se passe même au niveau local il faut dédier profusément de temps à ce but. Il est effectivement difficile de consacrer autant de temps dans un but sans que vous avez un goût exacerbé pour cela. Comment changer la froideur et l’indifférence du public envers un sujet en une passion? Quelles sont les DÉMARCHES que nous devrions prendre pour éviter le TATONNEMENT et ERRÉ envers les problèmes d’environnement? Paré suggère d’informer le public avec de nouveaux livres sur leur environnement et l’héritage local. Les livres SUSCITENT d’intérêt et DÉSENCLAVENT la région pour que le public puisse y accéder. Nous devrions mettre l’histoire locale et l’attention de l’environnement en OUTRANCE sur un SOCLE et assurer que le prochain gouvernement du Canada fasse la même chose.

lundi 1 mars 2010

La contagion Talibane


L’article publié en février 2010, « La contagion Talibane » par François Cardona et Julien Fouchet nous décrit les vies semées de trouble au sein du règne grandissant des fondamentalistes. L’article décrit la vie : d’une jeune étudiante de 22 ans, un homme dans sa cinquantaine qui est propriétaire d’un cinéma, de Munawar Hasan le leader du Jamaat-e-Islami et de Fakir Gul Khan un grand-père dans sa soixantaine qui a fait un grand périple pour se refugier dans la capitale pakistanaise, Islamadad. Munawar Hasan a dit que quand les Americains quitteront le pays il aura la paix et les citoyens seront moins désemparés. Il mentionne que des centaines d’innocents ont été tués par les Americains qui prétendent aider la situation au Pakistan.

Je pense que Hasan a un bon argument quand il parle des forces internationales qui ajoutent aux problèmes qui sont déjà assez sérieux au Pakistan. Le taliban prend des citoyens cibles s’ils ne vivent pas leurs vies d’une manière islamique. Les citoyens s’inquiètent alors d’attentats dans leurs vies quotidiennes. Les citoyens ne devraient pas aussi être engouffrés d’appréhension à cause de l’armée des États-Unis. Les armées d’autres pays que le Pakistan devraient donc, sortir du pays. Nous, les citoyens du Canada devraient aider à enrayer notre armée et celle des États-Unis de ce pays qui s’étiole. De plus, je trouvé déplorable que Shahleela, une jeune étudiante de 22 ans se trouve encombrée de faire ses études universitaires parce qu’elle a peur de tomber sous l’attaque du taliban. Nous avons la chance au Canada de vivre dans la paix et d’avoir l’occasion d’étudier.

mercredi 20 janvier 2010

Frousse au pays du grizzli


L’Actualité,
Québec, 15 décembre 2008,
p.54-55

Frousse au pays du grizzli

L’industrie écotouristique dans le nord de la Colombie-Britannique est dérivée des grizzli. Dans une région éloignée de plusieurs heures des grandes chaussées, les touristes sont intrigués par ces animaux au lieu de les dédaigner et ils ont pour leur butin de les observer. Un couple en retraite a payé des milliers de dollars pour venir et regarder les grizzlis. Cet argent devrait aller dans la protection de l’environnement.
Après l’avoir toisé, je suis d’accord avec le développement de l’écotourisme, sourtout dans notre province où 16, 000 grizzlis ont été recensé et où se trouve << l’une des dernières grandes forêts pluviales tempérées de la planète! >>(54) C’est en montrant aux personnes ce que la nature a pour nous offrir que les gens vont mobilisés d'autres gens pour la protéger. Comment est-ce que les gens vont être capable d’apprécier les moments de fascination et de paix que notre environnement peuvent partager avec nous s’ils n’ont pas la chance de les vivre?
Jusqu’à date il n’y a pas eu de morts à cause des grizzlis mais Eva Smith, guide bénévole du parc provincial Tweedsmuir soupçonne que cela va arriver dans le futur. Elle dit que les touristes ne respectent pas les règlements et mettent eux-mêmes en danger d’être attaqués. Malgrè la chance d’être déchiquetée par un grizzli c’est toujours une bonne occasion pour les touristes d’aller dans leurs premier bosquet avec un guide qui porte une carabine en cas d’attaque et d’expérimenter la vie dans l’air frais du nord de la Colombie-Britannique.